Bill Gates, Klaus Schwab, des PDG des Big Pharma et d’autres notables ont été accusés de crimes contre l’humanité.
Dans un document qui fait près d’une cinquantaine de pages, un groupe comprenant un ancien vice-président de Pfizer a déposé une plainte au nom des citoyens britanniques auprès de la Cour pénale internationale (CPI) contre des personnalités issues du monde politique, économique et pharmaceutique. L’accusation : crimes contre l’humanité, rien de moins.
Les accusés sont :
- Anthony Fauci, chef de l’équipe de la Maison-Blanche chargée de lutter contre le COVD-19;
- Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS);
- Bill et Melinda Gates;
- Albert Bourla, PDG de Pfizer;
- Stéphane Bancel, PDG de Moderna;
- Pascal Soriot, PDG d’AstraZeneca;
- Alex Gorsky, PDG de Johnson & Johnson;
- Klaus Schwab, président du Forum économique mondial;
- Peter Daszak, président d’EcoHealth Alliance;
- Boris Johnson, premier ministre britannique;
- June Raine, directrice générale de l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé du Royaume-Uni;
- Radiv Shah, président de la Fondation Rockefeller;
- Christopher Whitty, conseiller médical en chef du Royaume-Uni;
- Matthew Hancock, ancien secrétaire d’État britannique à la Santé et aux Affaires sociales;
La liste des plaignants ne compte aucun nom connu de ce côté-ci de l’Atlantique. Le groupe est mené par un ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon. Après des tentatives infructueuses de porter l’affaire devant le système judiciaire anglais, le collectif a déposé une plainte à la CPI pour qu’elle fasse cesser « le déploiement de vaccins [contre le] COVID » et « de passeports vaccinaux », des mesures qu’ils qualifient d’illégales.
La plainte, déposée le 6 décembre, porte entre autres sur les vaccins qui, selon les plaignants, ont causé de nombreux décès n’ayant jamais fait l’objet d’une enquête. Le groupe affirme aussi que le nombre de cas de COVID et de décès a été artificiellement gonflé et que les masques sont nocifs pour la santé des utilisateurs. Il fait par ailleurs valoir que le renoncement aux traitements efficaces contre le coronavirus, tels que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, a entraîné un nombre plus important de décès dus au COVID-19.
Parmi les autres griefs des plaignants : « destruction de richesses et d’entreprises » en raison des confinements, « privation grave de liberté physique en violation des règles fondamentales du droit international », et ségrégation imposée par le passeport vaccinal.
Sources
Leo Hohmann, The Desert Review, The Rio Times