Même le président Emmanuel Macron a dû l’admettre : la France s’enlise dans le crime migratoire.
En entrevue sur la chaîne de télévision France 2, le président français Emmanuel Macron a admis que la moitié des crimes commis à Paris étaient l’œuvre d’étrangers. Ces chiffres avancés par le président n’ont pas été pris au hasard. L’ex-chef de police de Paris, Didier Lallement, les a cités dans un livre qu’il vient de publier.
Macron est sous pression ces temps-ci depuis qu’une Algérienne arrivée en France en 2016 a été inculpée pour meurtre et viol avec acte de torture et de barbarie sur une mineure de moins de 15 ans. Cet événement a évidemment relancé le débat sur l’immigration.
Paris n’est cependant pas la seule ville aux prises avec le fléau d’une immigration mal foutue. À Marseille, cinquante-cinq pour cent des personnes interpellées seraient d’origine étrangère, selon un ministre du gouvernement français.
À Nantes, on dénombrait 283 cas de viols, d’agressions et de harcèlements en 2016; en 2021, ces chiffres grimpaient à 562. Selon les statistiques officielles publiées ce mois-ci, 41 % des personnes interpellées cette année à Nantes sont étrangères.
Ailleurs, on considère de plus en plus la France comme un endroit dangereux. Aux États-Unis par exemple, le département d’État a octroyé une note appelée « Level 2 » (« Niveau 2 ») à vingt-cinq pays, dont la France. Avec cette note de Niveau 2 , Washington invite ses voyageurs à « faire preuve d’une prudence accrue » dans leurs déplacements. « Soyez conscients des risques accrus pour votre sécurité », indique-t-on sur le site du gouvernement américain.
Ce qui fait défaut avec la France, selon le département d’État, ce sont les « troubles civils » et les possibilités d’attaques terroristes « ciblant les sites touristiques, les centres de transport, les marchés/centres commerciaux, les installations gouvernementales locales, les hôtels, les clubs, les restaurants, les lieux de culte, les parcs, les grands événements sportifs et culturels, les établissements d’enseignement, les aéroports et autres espaces publics ».
Sources
Gouvernement des États-Unis #1, #2, The Spectator, USA Today, World Population Review, Zero Hedge