Une haute dirigeante de Pfizer vient d’avouer que nos politiciens et scientifiques nous ont menti.
Robert Roos, député et vice-président du Groupe des Conservateurs et Réformistes européens au Parlement européen, a extorqué un aveu plutôt étonnant à Janine Small, directrice des marchés mondiaux chez Pfizer, durant les audiences de la Commission spéciale du Parlement européen sur le COVID-19, ce lundi. Selon Madame Small, le vaccin de son entreprise n’a jamais été destiné à prévenir la transmission du virus.
À la question de Roos, « Le vaccin anti-COVID de Pfizer a-t-il été testé pour arrêter la transmission [du virus] avant son entrée sur le marché? », Small a répondu : « Non [car] nous devions avancer à la vitesse de la science », signifiant par là que Pfizer devait faire vite pour concevoir son vaccin.
L’aveu de Small, qu’aucun grand média n’a rapporté au moment d’écrire ces lignes, est l’un des faits majeurs du dossier COVID. Ce que la dame nous dit essentiellement, c’est que nos politiciens nous ont menti pendant deux ans en nous faisant croire que nous n’allions pas attraper le virus si nous nous faisions vacciner.
Ces déclarations de la directrice des marchés mondiaux de Pfizer ne font toutefois que confirmer ce que la docteure Deborah Birx, l’ancienne responsable de la lutte contre le COVID à la Maison-Blanche sous l’administration Trump, avait déjà déclaré lors d’une entrevue à la chaîne Fox News. « Je savais que ces vaccins n’allaient pas [nous] protéger contre l’infection », avait-elle avoué.
Or, Birx elle-même disait tout le contraire lorsqu’elle était d’office à Washington. « C’est l’un des vaccins les plus efficaces que nous ayons dans notre arsenal [contre le virus] », disait-elle à l’époque. Une ligne directrice qu’avait suivie politiciens et scientifiques de par le monde.
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