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Médias, politiciens et technocrates nous en ont fait voir de toutes les couleurs ces deux dernières années.

Quelques fissures sont apparues sur le mur pandémique au cours du dernier mois. Les Occidentaux acceptent de moins en moins de se voir imposer des restrictions dont certaines se sont avérées draconiennes. Surtout, ils se sont lassés du spectacle d’aberrations auquel ils ont assisté malgré eux ces deux dernières années. Voici donc 10 de ces aberrations qui méritent certainement d’être jugées comme étant les pires.

1) Les confinements ont eu plus d’impacts négatifs que positifs, selon une étude de Johns-Hopkins. « Alors que cette méta-analyse conclut que les confinements ont eu peu ou pas d’effets sur la santé publique, ils ont imposé d’énormes coûts économiques et sociaux là où ils ont été adoptés », ont écrit les chercheurs de Johns-Hopkins. « En conséquence, les politiques de confinement sont mal fondées et devraient être rejetées en tant qu’instrument de politique pandémique ».

2) On nous avait certifié que les vaccins mettraient fin aux mesures sanitaires et à la pandémie. Quand les premiers cas de personnes infectées malgré leurs deux doses sont sortis, on nous a assurés que les vaccins diminuaient quand même le taux de propagation. Puis quand la majorité des hospitalisations touchaient les personnes vaccinées, on a tout tenté pour garder le silence sur ces faits.

Voici ce que déclarait Rochelle Walensky, directrice des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies : « Les personnes vaccinées ne sont pas porteuses du virus – elles ne tombent pas malades ». Puis Albert Bourla, PDG de Pfizer : « [N]otre vaccin a été efficace à 100 % pour prévenir les cas de COVID-19 en Afrique du Sud ».

3) Au début de la pandémie, il était interdit tant chez les médias que chez les scientifiques d’évoquer l’idée que le virus provienne d’un laboratoire de Wuhan. On a même su que les scientifiques s’étaient livrés à un véritable « cover-up » à ce sujet. Après l’élection de Joe Biden, les langues se sont déliées; aujourd’hui, de plus en plus de personnalités émettent cette hypothèse.

4) En mars 2020, les technocrates de la santé et les politiciens nous disaient tous ne pas porter de masque. Le reste, évidemment, fait partie de l’Histoire.

5) De nombreuses personnalités, dont le premier ministre du Canada et plusieurs politiciens des États-Unis, se sont signalés par leur hypocrisie alors qu’on les a vus en compagnie d’autres personnes, à l’occasion au beau milieu d’une foule, sans l’objet facial, et même sans respecter la distanciation sociale.

6) Les médias et les politiciens n’ont que très rarement – sinon jamais – fait allusion aux médicaments permettant d’alléger les symptômes du COVID. Ils ont préféré mettre l’accent uniquement sur les vaccins.

7) Tout scientifique, politicien, journaliste et autre quidam qui ne suivaient pas la ligne tracée par les « élites pandémiques » ont été l’objet – et sont encore l’objet – de censure. De nombreux scientifiques y sont passés, mais des journalistes aussi. Parlez-en à Francine Pelletier, ex-éditorialiste du journal Le Devoir qui a été congédiée après avoir écrit un papier critique sur les politiques gouvernementales.

8) Non seulement a-t-on confiné les gens, mais on les a même empêchés de jouer dehors en fermant les plages, les parcs et les terrains de jeux.

9) Les camps de quarantaine en Australie : on pense tout de suite à l’Allemagne des années 30.

10) Des experts sont apparus à la télé ou ont été interviewés par des journaux alors même qu’ils étaient financés par des pharmaceutiques, dont Pfizer. Un pur conflit d’intérêts.


Sources

Anguilles sous roche #1 et #2, Eric Pilon #1, #2, #3

 

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