« La science nous appartient ». Voici comment l’ONU s’y prend pour influencer vos opinions.
Lors d’un panel sur la désinformation organisé par le Forum économique mondial (FEM) la semaine dernière, une représentante des Nations Unies a fait preuve d’audace en dévoilant les stratégies déployées par l’organisme international pour manipuler l’opinion publique.
Melissa Fleming, secrétaire générale adjointe de l’ONU aux communications mondiales, a ainsi parlé du partenariat que l’organisation inernationale a scellé avec de grandes entreprises technologiques, dont TikTok et Google. Un partenariat qui n’a rien de banal.
Car selon Fleming, les résultats de recherche sur Google donneraient désormais la priorité aux liens pointant vers l’ONU, et ce, sur plusieurs sujets. En gros donc, si vous effectuez une recherche sur Google en relation avec, disons, les changements climatiques, les algorithmes vont proposer des d’articles de l’ONU favorisant les politiques environnementales.
« La science nous appartient », a craché Fleming lors du panel du FEM, comme pour signaler que toute opinion contraire à celles proposées par l’ONU ne relevait pas de la science et devait être rangée dans la section « désinformation ».
L’entente avec Tik Tok, si l’on se fie aux propos de Fleming, a plutôt trait aux politiques pour contrer le COVID. Le principe est le même : toute information qui n’a pas reçu le sceau d’approbation de l’ONU constitue de la désinformation. Fleming a d’ailleurs admis que l’organisation internationale n’hésitait pas à embaucher des influenceurs pour propager la bonne nouvelle onusienne.
Voilà en partie comment les gouvernements, les médias et les grandes institutions internationales fabriquent le consentement des masses. La formule est connue : ou vous êtes avec nous, ou contre nous.
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